Transition, propositions

->Le projet de réseau de chaleur des 4 villes apparaît comme le moyen le plus efficace de contribuer aux engagements du Pcaet du Gpso, dont l’objectif est par exemple de baisser les émissions du secteur résidentiel de 20% d’ici 2030 (p25/38).
Il faudra toutefois veiller à ses conditions de financement, et à celles de la délégation de service public qui sera concédée, à partir de 2026. Lancer une étude sur le stockage intersaisonnier de la chaleur, associé au réseau.

-> La réglementation concernant l’implantation des bornes de recharges dans les parkings publics de plus de 20 places n’est pas appliquée à Ville-d’Avray -loi LOM (1c)-, nous veillerons à son application.

->Le réseau des pistes cyclables est quasi inexistant entre Ville-d’Avray et les communes avoisinantes de Sèvres et St-Cloud (1) (p7,16/118). Nous proposerons en particulier la création de pistes cyclables vers Saint-Cloud en concertation avec la mairie voisine. Ce tracé serait un itinéraire de délestage du tracé de la piste V3, du projet rer-V, à destination de Versailles qui est actuellement bloqué (1a). En effet, un facteur déterminant pour augmenter l’usage de deux roues, est la continuité des pistes à travers la constitution d’un réseau (1b).

-> Il est possible de chauffer la piscine de ville d’Avray par du solaire thermique, qui a un rendement élevé de 80% en comparaison du solaire photovoltaïque qui est plutôt voisin de 25%. Une concession de service public pourrait être établie à partir d’une installation sur le toit de la piscine. Les études montrent qu’en moyenne le retour sur investissement peut se faire en une dizaine d’années (2) (3) (3a). Une piscine a en effet un consommation énergétique au m2, plus de 10 fois plus élevée qu’un bâtiment tertiaire (4). Ainsi, les piscines municipales représenteraient en moyenne un coût de 10 à 25% de la facture énergétique d’une commune (5)(p.



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